Visiter Budapest : que faire un week end dans la capitale hongroise
Que faire à Budapest en 3 jours, vibrante capitale d’Europe Centrale
Située le long des rives du Danube, Budapest, la capitale de la Hongrie, est née de l'union de Buda et Pest en 1873, donnant naissance à la célèbre "perle du Danube". Classée parmi les villes les plus peuplées d'Europe centrale, elle incarne un mélange fascinant de patrimoine historique et de modernité florissante. Depuis la chute du Bloc de l'Est, Budapest a métamorphosé son visage, émergeant comme une métropole dynamique où l'effervescence artistique, culinaire, et culturelle ne cesse de croître. Malgré les défis politiques et l'ombre persistante de l'extrême-droite depuis l'accession de Viktor Orbán au pouvoir en 2010, la ville continue de rayonner comme l'une des villes les plus en vogue d'Europe centrale.
Visiter Budapest, c’est aussi découvrir une ville riche de plus de mille ans d’histoire à la fois grandiose et sombre. De ce passé prospère et cosmopolite subsiste un héritage culturel et un patrimoine architectural exceptionnel dont son château royal sur la colline de Buda. Des lieux emblématiques de la ville aux spots les plus in, en passant par les plus beaux hôtels de Budapest, nous vous faisons découvrir les adresses incontournables de la ville pour profiter d'un week-end de 3 jours à Budapest.
Que faire à Budapest - jour 1
11h – Poser ses valises à l’hôtel Dorothea Hotel, Budapest, Autograph Collection
Testé et approuvé par la rédaction
Chaque chose en son temps. On commence par poser ses valises dans l'un des plus beaux hôtels de Budapest. Inauguré fin 2023 dans le quartier de Belváros, le Dorothea Hotel sublime l’héritage hongrois avec une touche contemporaine. Niché sur la rive de Pest, dans le dynamique District V à l'ombre du Parlement, cet établissement signé Marriott occupe trois bâtiments du XVIIIe siècle, non loin des berges du Danube et à l'angle du célèbre café Gerbeau. Le somptueux hall d’entrée rompt d’emblée avec la discrétion que l’hôtel affiche à l’extérieur : une colonnade majestueuse et un plafond aux moulures raffinées conduisent les hôtes vers le lobby où se dresse un mur de céramique bleue de 25 mètres de haut, qui suggère les flots tumultueux du Danube. L’ensemble est inondé de lumière naturelle grâce au plafond de verre qui relie les bâtiments historiques. Ces édifices de style néo-renaissance, jadis les bureaux d'une banque, d'une assurance et d'une compagnie fluviale, étaient restés vacants avant de former ce nouvel établissement idéal pour visiter Budapest.
Le Dorothea, conçu par l'architecte et designer italien Piero Lissoni et inspiré par la vie de l’archiduchesse au nom éponyme, dévoile 216 chambres et suites, chacune pensée comme un sanctuaire de confort et d'élégance. Parées de tons lumineux et apaisants, rehaussées de parquets en bois sombre et de rideaux bleu paon, les chambres modernes invitent à la détente et à la contemplation. Les œuvres du photographe hongrois Zoltán Tombor apportent une touche d'art et de modernité. Quant aux chambres historiques, installées dans le bâtiment Weber, elles transportent dans le passé avec leurs portes décorées de portraits du XIXe siècle, leurs corniches d'époque et leurs grandes fenêtres néo-renaissance. Le mobilier, agrémenté de broderies florales inspirées du folklore local, complète l'atmosphère élégante et intemporelle.
Le premier étage s'articule autour d'une cour intérieure, véritable oasis de verdure et de tranquillité avec son mur végétal, hommage au Palatin Joseph, grand amateur de botanique. Cet atrium offre un cadre paisible pour savourer un café, déguster un repas gastronomique ou simplement se détendre dans un des salons confortables. Situé dans la cour intérieure, le Pavilon Restaurant & Bar propose une cuisine gastronomique créative mettant en valeur les produits locaux basée sur la philosophie de la ferme à la table… Toujours au premier étage, le Anton's Bar & Deli offre café artisanal et cocktails à déguster tout au long de la journée et en soirée. Prochainement, l’hôtel accueillera deux restaurants dirigés par le chef triplement étoilé Michelin Dani García : BiBo, une brasserie andalouse avec vue panoramique sur Buda, et Alelí, une authentique osteria italienne.
Ce qui fait la différence ? Outre son restaurant gastronomique de haute volée, l’hôtel dispose d'un spa de 650 mètres carrés : piscine, sauna, hammam et centre de remise en forme invitent les hôtes à la détente. Trois salles de soins, dont une pour les couples, proposent des soins holistiques avec les produits Babor Cosmetics.
Bon à savoir ? Le restaurant sert un menu dégustation en 8 plats à la table du chef, chacun accompagné d’un vin différent.
Dorothea Hotel, Budapest, Autograph Collection
216 clés, à partir de 250€ la nuit.
Budapest, Dorottya u. 2, 1051 Hongrie
Mais aussi ?
On optera également pour le flambant neuf Kimpton BEM Budapest. Érigé en bordure du Danube, côté Buda, dans un bâtiment historique datant du XIXe siècle, l’intérieur a été totalement repensé par le designer néerlandais Marcel Wanders. Au total, ce sont 127 chambres et suites, un restaurant, et deux bars dont un rooftop qui transporteront les voyageurs dans une atmosphère riche et colorée, empreinte de mythologie hongroise.
Kimpton BEM Budapest
Budapest, Bem József tér 3, 1027 Hongrie
À partir de 179 € la nuit
13h – Déjeuner au Mák Bistro (Vigyázó Ferenc utca 4)
Que faire à Budapste pour notre premier déjeuner ? Direction le Mák : dans ce néobistrot à la hongroise on vient goûter la cuisine inspirée du chef János Mizsei. A l’image du cadre qui mélange minimalisme et touches de rusticité, la cuisine à l'esprit saisonnier est contemporaine et respectueuse de la qualité des produits. Avec le menu La Grande Région, János se tourne vers la cuisine nordique pour proposer des versions créatives de plats hongrois classiques : carotte fumée, raifort, fleur de sureau ; truite, oseille, betterave ; chevreuil, topinambour, pin... les plats s’enchaînent avec justesse pour cette cuisine gastronomique toujours imaginative. Menu Le Petit Hédoniste en 3 plats à 21,000 HUF (58 €).
14h30 – Faire son shopping sur l’avenue Andrássy
L’avenue Andrássy ou Andrássy út en hongrois dans le texte est à Budapest ce que les Champs-Elysées sont à Paris : une artère imposante et historique où le shopping est roi. C’est en particulier autour de l’Opéra que se sont installées les marques de luxe internationales (Vuitton, Burberry, Max Mara, Vertu…). Mais si le lèche-vitrine est une activité à temps plein ici, n’oubliez pas de jeter un coup d’œil au patrimoine architectural unique de cette avenue classée au Patrimoine Mondial de l’Unesco. Autres lieux importants : la Maison de la terreur (Terror Háza), musée en l'honneur des victimes des dictatures du XXème siècle, le Centre de Photographie Contemporaine Robert Capa, le musée Franz Liszt, le quartier des théâtres, la place Oktogon ou la galerie Kogart où se cache une jolie terrasse pour déjeuner aux beaux jours.
16 h – S’accorder une pause café au Callas (Andrássy út 20)
Avant de poursuivre la balade pour visiter Budapest, on pourra s’autoriser une pause pour commander un petit noir ou un thé Mariage Frères, déguster une pâtisserie ou une glace. Installé au coin de l’Opéra, le Callas est une institution à Budapest. Après avoir été laissé à l’abandon, ce fastueux café de style Art Déco a retrouvé son lustre d’antan sous la houlette du décorateur britannique David Collins, connu pour ses aménagements intérieurs luxueux de restaurants, bars et hôtels à Londres.
17 h – Arpenter les ruelles du District VII (Quartier Juif)
On quitte l’Opéra, les boutiques de luxe et les cafés opulents pour rejoindre l’univers du street art, des petits bars de quartier et des boutiques alternatives. Changement d’ambiance radical en traversant Andrássy vers le sud pour rejoindre District VII, le traditionnel quartier juif de la ville. C’est ici qu’ont élu résidence artistes, créateurs et jeunes entrepreneurs multipliant les ouvertures d’hostels tendances, de cafés branchés ou de shops designs, en particulier sur Király utca. C’est également dans dans ce quartier que l’on trouve les romkocsma, littéralement “bars de ruine” en hongrois, symboles du dynamisme de la scène nocturne locale. Installés dans d'anciens immeubles tombés en ruine pendant la période communiste, ils ont un temps été squattés par des artistes avant de devenir l’épicentre de la vie nocturne underground du quartier (on y reviendra plus tard).
19 h – Passer la soirée à l’Opéra, l'incontournable d'un week-end à Budapest
Moins réputée que Vienne ou Prague, Budapest est pourtant une ville d’Opéra qui vaut le détour. Pour des spectacles de grande qualité dans un cadre néo-renaissance absolument somptueux, direction l’Opéra d’État Hongrois dont l’acoustique est réputée pour être l’une des meilleures d’Europe, juste derrière la Scala et l’Opéra Garnier. On vous invite à consulter le programme sur www.opera.hu pour vous tenir au courant des représentations qui auront lieu pendant votre séjour de 3 jours à Budapest.
N’hésitez pas à jeter en même temps un coup d’œil la liste des évènements du Théâtre Erkel. Originellement nommé Népopera (l’Opéra du Peuple), ce théâtre à l’allure austère propose une programmation de concerts, ballets et opéras de belle facture à des prix attractifs.
23 h – Siroter un cocktail à The Bar (Anker köz 1-3)
Un dernier verre avant de rentrer à l’hôtel ? On se rend à Anker köz, une curieuse rue courbe du centre-ville pour trouver The Bar, l’adresse idéale pour s’offrir une coupe de champagne ou un cocktail sophistiqué. L’élégant décor noir et or et l’atmosphère animée en font le spot parfait pour finir la soirée en beauté.
Jour 2 - Samedi
11 h - Chiner au marché aux puces d’Ecseri
Que faire à Budapest pour une session shopping ? Bienvenue dans le plus grand marché aux puces d’Europe Centrale. De véritables antiquités en passant par les incontournables vestiges de l’ère communiste (insignes, uniformes, etc.) cette brocante géante offre un choix invraisemblable d’objets en tous genres à mi-chemin entre le vide-greniers et un marché aux puces prestigieux. Tous les prix sont à marchander, avec plus ou moins de facilité en fonction du niveau d’anglais du vendeur. Avant de quitter les lieux, on déjeunera sur le pouce dans l’un des stands rustiques du marché. (Pratique : pour s’y rendre, on recommande le taxi, beaucoup plus rapide).
Mais aussi ? Découvrir les vins hongrois à Etyek
Si les consommateurs français ne le savent pas systématiquement, la Hongrie est pourtant bien un pays producteur de vin ! 22 régions s’y consacrent à travers le territoire. Etyek, charmant village situé à moins d’une heure de Budapest est une bonne opportunité pour aller à la rencontre des propriétaires de domaines. Szilard Nadas est l’un d’entre eux. Diplômé en ingénierie horticole, c’est après avoir fait ses armes à Bordeaux, puis en Australie et au Canada, qu’il a repris avec sa femme Veronika un ancien pressoir et y a développé sa marque : Nadas Bormuhely. Ne produisant que 10 000 bouteilles à l’année, il est possible sur demande d’effectuer une dégustation de ses différentes cuvées, certaines constituées de cépages typiques de la région, que Szilard présentera avec enthousiasme.
13 h - Déguster une cuisine de saison chez Mandragora
C’est après avoir traversé une charmante terrasse arborée que l’on sera chaleureusement accueilli au restaurant Mandragora. Établi depuis 2004 côté Buda, l’établissement était initialement un bar à vins, qui, au fil des années, s’est mué en un restaurant bistronomique proposant une carte sans cesse renouvelée au gré des saisons et des inspirations du chef. Attablé dans l’une des deux salles à la décoration très sophistiquée, on y dégustera aussi bien des classiques de la gastronomie hongroise (leur goulash est excellent) que des plats aux accents méditerranéens.
15 h – Flâner le long du Danube
Retour à Boráros tér pour entamer une balade ensoleillée et digestive le long du Danube. On remonte vers le nord en direction du Pont des Chaînes pour une promenade d’environ 2,5 kilomètres le long du plus célèbre des fleuves européens. L’occasion de prendre la mesure de l’ampleur du fleuve mais aussi d’observer la toponymie de la ville. Sur l’autre rive, le Mont Gellért coiffé de sa citadelle historique, elle aussi classée au Patrimoine Mondial de l’Unesco, surplombe la capitale hongroise du haut de ses 235 mètres. Plus loin, la perspective offre un premier aperçu du Château de Buda et de l’Eglise Notre-Dame-de-l‘Assomption de Budavár.
16 h – Traverser le Pont des Chaînes pour explorer Buda
Retour au cœur du centre ville sur la place Széchenyi où s’érige sur votre droite l’un des plus beaux bâtiments de la ville, le somptueux Four Seasons Gresham Palace et à votre gauche le légendaire Pont des Chaînes, symbole de la réunification de Buda et Pest au milieu du XIXème siècle et véritable prodige technique pour l’époque. Notez les deux lions de pierre qui gardent, de chaque côté, la tête du Pont des Chaînes. Pour la petite histoire, la légende locale veut que leur sculpteur, János Marschalkó, se suicida en se jetant dans le fleuve parce qu'il avait oublié de les doter de langues. En réalité, bien que peu visibles, les lions possèdent bien des langues…
Une fois, côté Buda grimpez – en funiculaire ou à pied – jusqu’au Château, l’ancienne résidence des rois de Hongrie, joyau architectural de la ville et hôte de deux musées majeurs : la Galerie nationale hongroise (Magyar Nemzeti Galéria) et le Musée historique de Budapest.
On poursuit la route à pied vers la colorée Eglise Matthias (aussi connue sous le nom d’Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption de Budavár), principal sanctuaire catholique de la ville dont les origines remontent au XIIIème siècle. Ne manquez pas les vues sur Budapest et son Parlement depuis les remparts situés juste derrière.
17 h – Respirer le grand air sur l’Île Marguerite
Havre de verdure, l’Île Marguerite coupe le Danube en deux à seulement quelques centaines de mètres au nord du Parlement. Cette île recouverte d’espaces verts est généralement considérée par les Budapestois qui viennent s’y promener, faire du sport ou pique-niquer, comme le poumon de la ville. Immanquable lorsque l'on vient visiter Budapest. Plusieurs jardins (anglais, japonais, français) s’y succèdent et on y trouve également le monument du Centenaire, les ruines du couvent où vécut la princesse Marguerite (à laquelle l'île doit son nom), la promenade des Artistes, un théâtre en plein air et l'ancienne fontaine musicale. En été, le Palatinus, plus grande piscine extérieure de la ville accueille ceux qui voudraient faire un petit plongeon.
20 h – Savourer la gastronomie hongroise à Onyx (Vörösmarty tér 7)
Encore jeune en termes de gastronomie, la capitale hongroise ne compte que deux restaurants étoilés. Onyx, l’un d'eux, a nos faveurs pour s’offrir un dîner d’exception, unique et authentiquement hongrois.
On troque ici de côté la sempiternelle gastronomie française pour une cuisine hongroise de haute volée inspirée des recettes traditionnelles du pays. Aux commandes de ce restaurant flamboyant, les chefs Szabina Szulló et Tamás Széll nous livrent leur vision brillante de la gastronomie locale dans un élégant atelier doté d'une belle cuisine ouverte et d'une bibliothèque vitrée avec galerie. Le résultat dépasse les espérances des plus fins gourmets.
23 h – S’encanailler dans les romkocsma de Kazinczy utca
Si le dîner chez Onyx vous a laissé des forces, poursuivez la soirée sur Kazinczy utca au cœur du vibrant District VII. C’est ici, dans l’ancien ghetto juif désormais terrain de jeu des artistes et créateurs, que l’on trouve la plus grande concentration de romkocscma, ces bars installés dans les immeubles laissés à l’abandon pendant l’ère communiste. Le plus ancien et le plus emblématique de ces ruin bars est Szimpla Kert (Kazinczy utca 14), véritable épicentre de la culture underground locale, malgré l’inévitable « touristification ». Bières pas chères et ambiance électrique garantie dès le mercredi soir.
25h30 – Faire la fête à l’A38
Pour poursuivre la nuit et le week-end à Budapest, on se dirigera sur les rives du Danube au sud de la ville pour monter à bord de l’A38 (Budai alsó rakpart), un ancien navire de transport ukrainien reconverti en salle de concert et en club. C’est ici que se produisent la plupart des grands noms du rock ou de l’électro dans une atmosphère de fête sans équivalent en ville. Pour ne rien gâcher, l’A38 dispose d’une immense terrasse extérieure et pratique des prix tout doux comparés aux standards occidentaux.
Jour 3 - Dimanche
11h – Assister à une messe à la Basilique Saint-Étienne
Si vous ne l’avez pas encore visitée, poussez les portes de l’imposante Basilique Saint-Etienne de Pest, l’un des plus grands impressionnants monuments de la ville. L’intérieur de cet édifice dont la construction dura plus d’un demi-siècle surprend par son ornementation riche et son opulence. Le dimanche matin, la messe toujours bondée permet d’appréhender les lieux avec encore plus d’émotion.
Pour les courageux, il est possible de grimper sur le dôme pour admirer les vues sur la ville.
12h – Bruncher à Déryné
Après cet intermède spirituel retour sur les rives du Danube pour pénétrer à Déryné, une brasserie franco-hongroise sur 2 niveaux, avec jardin, boulangerie sur place et concerts de piano quotidiens. Le week-end, l'adresse située sur les collines de Buda dans le quartier du château, est célèbre pour son brunch où l'on débute avec une coupe de champagne avant de continuer avec du saumon, des huîtres, du caviar, des brioches au beurre, des toasts à l'avocat jusqu’à 16 heures. Service impeccable et avalanche de bonnes choses sur la table. Probablement la meilleure sélection d’huîtres et de steak (wagyu, kobe, kagosima et angusest importés directement d’Australie, des États-Unis, d’Amérique du Sud et du Japon) de la ville.
14h30 – Visiter la Grande Synagogue de Budapest
Logiquement fermée les vendredis après-midi et samedis, il ne reste plus beaucoup de temps pour se rendre dans la Grande Synagogue de Budapest. Pourtant il serait dommage de passer à côté de cette synagogue d'inspiration byzantino-mauresque qui se révèle être la plus grande d’Europe et la seconde plus grande du monde après après le Temple Emanu-El à New York. La richesse de la décoration intérieure comme les deux imposants chandeliers (1,5 tonnes chacun) justifient que l’on s’y arrête.
16h – « Prendre les eaux » aux thermes Széchenyi
Impossible de visiter Budapest sans s’être détendu dans l’un des nombreux établissements thermaux de la ville. Le thermalisme, qui était une activité déjà répandue à l’époque Romaine, est aujourd’hui plus vivant que jamais grâce à l’afflux de touristes mais aussi aux Budapestois restés fidèles à cette tradition.
La ville compte naturellement plusieurs thermes de renom, dont les célèbres Bains Gellért à l’architecture Art Nouveau réputée mais ce sont les Bains Széchenyi dans le parc municipal Városliget qui ont nos faveurs. Lumineux, partiellement en plein air et ultra complets (une douzaine de bains thermaux et 5 piscines avec des températures allant jusqu’à 38°), ils constituent l’introduction idéale à cet art de vivre typiquement hongrois.
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