Paris : les 13 meilleurs nouveaux restaurants de 2016

Si nous avons volontairement limité le nombre d’adresses ayant l’honneur de notre sélection « best-of » 2016, impossible de faire l’impasse sur ces 12 autres adresses qui ont également marqué l’année :

• Roch Restaurant (28 rue Saint-Roch, Paris 1^er) : formule gagnante pour le restaurant du premier boutique-hôtel de luxe signé Sarah Lavoine grâce à des assiettes de grande qualité (signée du chef doublement étoilé Arnaud Faye), une atmosphère léchée et un service pas prétentieux pour un sou
• Guy Savoy au Mama Shelter (109 Rue de Bagnolet, Paris 20^ème) : le meilleur chef au monde (selon La Liste 2017) signe la nouvelle carte du plus cool des hôtels parisiens, le Mama Shelter. Pas de révolution dans l’assiette mais une association indéniablement gagnante (assiettes justes et généreuses, cadre cool et atmosphère branchée).
• Flesh Canal Saint-Martin (23 rue Louis Blanc, Paris 10^ème) : après le succès phénoménal de leur premier restaurant de SoPi le duo David Vidal et Arnaud Champetier, accompagnés en cuisine de Simon Lewis (ex Frenchie, Spring), remettent le couvert à deux pas du Canal Saint-Martin avec un concept inchangé : celui du BBQ aussi cool que bon. 
• Chez la Vieille (1 rue Bailleul, Paris 1^er) : la nouvelle aventure du chef américain Daniel Rose (Spring) qui reprend cette institution bistrotière du quartier des Halles, jadis fréquentée par Lino Ventura, Michou… ou Jacques Le Divellec. « L'ensemble fomenté en finesse, d'une verve légère, sans jamais pousser sur le calorique. » explique Emmanuel Rubin.
• OKA (1 rue Berthollet, Paris 5^ème) : attendu à la rentrée, la nouvelle table gastronomique du Brésilien Raphaël Rego devrait ouvrir ce mois. Reste à savoir si le résultat sera à la hauteur des espérances.
• Mamma Primi (71 rue des Dames, Paris 17^ème) : troisième adresse pour le groupe Big Mamma (Ober Mamma, East Mamma) qui célèbre cette fois les primi piatti.
• Clover Grill (6 rue Bailleul, Paris 1^er) : tout le monde l’attendait, il est désormais ouvert. Le grill chic de Jean-François Piège n’attend plus que vous.
• La Scène Thélème (18 rue Troyon, Paris 17^ème) : Dans l’ancien restaurant de Guy Savoy rue Troyon, la Scène Thélème propose une expérience à mi-chemin entre plaisirs de la table et théâtre. Sous la houlette du chef Pierre Rigothier (ex du Baudelaire, le restaurant étoilé de l’hôtel de luxe Burgundy).
• Jouvence (172 bis, rue du Faubourg-Saint-Antoine, Paris 12^ème) : cuisine du marché (en l’occurrence celui d’Aligre), par Romain Thibault (ex-second de L'Antre Amis), installé dans une ancienne confiserie.
• Jones (43 Rue Godefroy Cavaignac, Paris 11^ème) : après le départ surprise de James Henry, chef australien autodidacte, son Bones s’est transformé en Jones. La bande des Pères Populaires (20^ème), Au Passage (11^ème) et  de l’Orillon Bar (11ème) a pris la relève.
• La Table du Flow (4 port des Invalides, Paris 7^ème) : on aurait pu craindre un lieu sans âme. Il n’en est rien. Le restaurant façon brasserie contemporaine chic du Flow permet de profiter de vues spectaculaires sur les quais, les abords du majestueux Pont Alexandre III et du Grand Palais tout en mangeant drôlement bien. Pari réussi.
• Odette (25 rue du Pont-Neuf, Paris 1^er) : entre les Halles et la Samaritaine, cette « auberge urbaine » signée de la de la famille Rostang (Michel et ses filles) prône une cuisine locavore et de saison.
• L'Étoile du Nord (Gare du Nord) : arrivée remarquée du chef Thierry Marx à la Gare du Nord qui signe la carte de la brasserie contemporaine de la troisième gare la plus fréquentée au monde. Une belle vitrine.
• ORE (Alain Ducasse au Château de Versailles) : la rencontre de deux noms emblématiques de l’art de vivre à la française. D’un côté, Alain Ducasse, chef multi-étoilé et véritable parrain de la gastronomie française. De l’autre, l’iconique Château de Versailles. Pendant la déjeuner, et pour le commun des mortels, ORE décline une carte de gastronomie française moderne et accessible. Mais à l’heure du dîner, le lieu se transforme en restaurant privé d’exception, devenant « le théâtre de grands dîners comme au temps du Roi ».