Notre safari en Zambie : Walking on the wild side
On le sait peu, mais la Zambie est un tout jeune pays, qui a fêté les 60 ans de son indépendance en octobre 2024. Et c’est sous cet ancien protectorat anglais – alors appelé Rhodésie du Nord qu’un jeune britannique, Norman Carr a imaginé les tout premiers safaris à pied, mis toute son énergie à créer les premiers parcs nationaux. De chasseur d’éléphants invétéré, il devint protecteur de l’environnement, un écolo précurseur qui préférait les touristes armés d’appareils photo plutôt que les chasseurs en quête de trophées. C’est dans ses traces que YONDER vous entraîne aujourd’hui pour un safari en Zambie en mode road trip.
Jour 1 – Arrivée à Lusaka
Partis la veille de Paris-CDG, avec une escale à Nairobi sur Kenya Airways - il n’y a aucun vol direct depuis la France pour l’instant - on arrive à Lusaka, la capitale. On peut enchaîner avec le vol intérieur et débuter notre itinéraire en Zambie.
17 h — Check-in au Royal Livingstone Hotel by Anantara
Le célèbre explorateur se devait d’avoir un établissement à son nom ! Posé devant le Zambèze, on aperçoit, au loin, les brumes d’eau qui auréolent les célèbres chutes. Le vaste lobby, flanqué de confortables sofas, délivre d’emblée une vue sympathique sur la piscine et, au-delà, le fleuve. Et là oui, vous n’avez pas la berlue, ce sont bien trois zèbres qui paissent tranquillement : au cœur du parc national Mosi-oa-Tunya (la fumée qui tonne en langue losi). Prémices de notre safari en Zambie. L’hôtel offre 173 clés dans des petits bâtiments blancs à deux étages. Si certaines, au rez-de-chaussée, sont un peu sombres, elles bénéficient d’une agréable véranda. On privilégie une junior suite, 52 m2 rénovés, dans un style colonial modernisé, agrémenté de belles photos. Et si vous venez en famille, un club prend en charge les enfants de 4 à 12 ans.
Royal Livingstone Anantara
Mosi-oa-Tunya Road, Livingstone, Zambie
Prix à partir de 800 euros la nuit
L’alternative : le Sanctuary Sussi & Chuma enfouit 12 cabanes sur pilotis reliées par une passerelle en bois sur les rives du Zambèze et au milieu d’ébéniers géants : dépaysement immédiat. Lit à baldaquin pour la moustiquaire, ventilateurs et terrasse vue sur le fleuve. Deux chumas, des villas de grand luxe avec butler, chef, guide et véhicule privé pour une expérience particulièrement raffinée. Une petite piscine, un bar et ce belvédère sur le fleuve, spectaculaire pour dîner en écoutant les bruits de la nuit. Pension complète oblige, vous profitez d’une visite guidée des chutes Victoria et de la forêt côté zambien, de deux safaris en Zambie quotidiens dans le parc national, et d’une visite culturelle de Livingstone et de son musée ainsi que du village de Maramba.
18 h — Dîner avec vue sur la rivière
The Kubu, une terrasse en surplomb du Zambèze : the perfect place pour siroter un cocktail au soleil couchant. Vous pouvez même demander un mélange de votre choix. Profitez-en pour aller admirer le Travellers Bar avec son impressionnant comptoir et sa non moins spectaculaire bibliothèque à alcools ; l’occasion de goûter au gin Mundambi, produit au Cap, spécialement pour le resort. Au dîner, à la carte, les propositions font le grand écart : un carpaccio de crocodile (délicieux) ou une bruschetta à l’agneau, un curry indien ou une caille grillée, les plats sont joliment présentés, les saveurs équilibrées.
Jour 2 : survol et envol
8 h — Bobo Camp
La voiturette vous cueille à l’entrée du lobby pour vous amener en quelques minutes, jusqu’à l’héliport de l’hôtel. On entend l’appareil avant de le voir, tournant gracieusement avant d’atterrir. Casque vissé sur la tête, ceinturé, on peut décoller pour la prochaine étape de notre itinéraire en Zambie. Au sol, la savane, rouge, piquetée d’arbres, un bout de forêt et ce plongeon, au cœur de la gorge de Batoka, plus de cent kilomètres de falaises tour à tour dans la nudité de leur basalte ou recouvertes de forêts de mopanes : au fond, les eaux glauques du Zambèze. L’appareil zigzague dans la faille avant de se poser délicatement. Bienvenue à Bobo Camp. La table du petit-déjeuner est dressée. Une coupe de champagne, une coupelle de fruits frais et ces petits sandwichs gourmands. En contrebas une improbable plage de sable fin. Des rochers aussi.
De l’autre côté sur la rive zimbabwéenne, un groupe d’Américains a posé sa tente la nuit dernière, leur canot de rafting amarré en contre bas. A condition de ne pas s’éloigner - les courants sont plutôt forts, et on n’est pas à l’abri d’un petit crocodile égaré - on se glisse dans l’eau délicieusement fraîche. Deux heures de farniente avant de redécoller en direction des chutes cette fois. Nommée en l’honneur de la reine britannique, elle avoue son nom local. On survole le fleuve, immense, louvoyant, parsemé d’îlots. Apparaissent enfin les cataractes : étirées sur 1,7 km, la Zambie en détient un tiers. Une expérience inoubliable, même en période sèche, qui dévoile la faille des chutes Victoria, les îles éparpillées sur le fleuve avant de revenir à l’hôtel.
12 h — Déjeuner près des Chutes Victoria
On s’installe à la terrasse du Old Drift, agréablement ventilée, pour déjeuner de calmars grillés ou d’un filet de merlu escorté d’une caponata. La carte, orientée internationale, a le bon goût de suggérer au moins un plat local.
14 h - Lingstone, la petite pause urbaine
On prend le pouls de cette ville, pas très belle, il faut bien l’avouer, mais animée d’un marché bigarré ; on s’attarde à celui dédié à l’artisanat pour faire le plein de souvenirs et l’on passe volontiers 2 h dans le musée éponyme : de l’histoire du célèbre explorateur aux modes de vie des tribus, il est aussi passionnant que son aspect vieillot ! Et si vous n’aimez pas marchander, la boutique offre également de l’artisanat à prix fixes autant qu’avantageux.
16 h — Croisière au soleil couchant
A défaut de se baigner dans le Zambèze, royaume des crocodiles et des hippopotames, la croisière au coucher du soleil dévoile une faune et une avifaune abondante. Au bout du quai – celui-là même où le roi George VI, embarqua avec sa femme et ses filles Margareth et Elizabeth en 1947 – le bateau et son guide attendent patiemment pour notre premier safari en Zambie ; deux heures durant lesquelles on glisse entre mangroves échevelées et îlots touffus qui dévoilent une étonnante avifaune, dont de nombreux oiseaux migrateurs : colonie de guêpiers au plumage bigarré, martins-pêcheurs huppés, ibis et hérons et ces pintades à la démarche empotée. Affleurant l’eau, le crâne d’un hippo. Puis deux, trois dix. Faussement débonnaire. Sur ce bout de terre, deux éléphants marchent comme au ralenti. Le guide à l’œil et s’approche d’une rive. A moins de deux mètres, un crocodile alangui autant qu’indifférent, probablement endormi. On s’arrêtera sur un autre banc de terre : un verre à la main, on contemple le soleil décliner… Tout en restant aux aguets.
19h30 — Boma dinner
Un boma, c’est un enclos, à la fois pour les animaux mais aussi, par extension, l’endroit où l’on se réunit. Ici pour partager le dîner, servi sous forme de buffet. Traditionnel forcément. Tout comme les danses qui animent la soirée. A la fois kitsch et fascinant. Et les brèves explications donnent surtout envie d’en savoir plus sur les peuples locaux.
Jour 3 : journée transfert
5h30 — Lever matinal
Le soleil se lève tout juste mais les babouins devant la chambre s’agitent depuis longtemps. Si vous n’y prenez garde et les approchez trop, ils peuvent se montrer très agressifs ! On file prendre un petit-déjeuner léger, mais en face du Zambèze.
6 h — Morning safari en Zambie
Le 4x4 nous emmène pour la suite de notre itinéraire en Zambie. Mais pas pour longtemps. On met rapidement pied à terre au cœur du parc national. Ce matin c’est safari à pied, comme Norman Carr en son temps. Au guide chevronné, Biswell, s’est joint un apprenti et, surtout un garde armé. Mais pas de panique, nous nous tiendrons à distance respectable, et un coup de feu en l’air suffirait à effrayer tout animal mécontent. On marche en file indienne, chuchotements de rigueur. On prend le temps d’examiner ici une empreinte de zèbre, plus loin un tas d’excréments. Ceux de deux hippopotames, mais ils sont passés il y a déjà quelques heures. Ce trou minuscule dans la terre ? Le terrier d’une fourmi-lion, l’un des little five à l’opposé des fameux big five.
Une termitière géante, un groupe de vautours assoiffés près d’une mare. Au fond de la prairie, un groupe d’éléphants et leurs petits. Indifférents à notre présence, ils s’avancent vers le fleuve. Tout à coup, Biswell intime le silence ; derrière ces quelques arbres, cinq rhinocéros blancs. Le pays en avoue 9. Non pas que l’espèce soit menacée, mais en Zambie, elle a été éradiquée il y a une trentaine d’années par les braconniers. Les minutes s’égrènent et l’on reste là, à les contempler. Avant de rebrousser chemin, charmés.
12 h — Déjeuner
On se repaît une dernière fois de cette vue sur le Zambèze depuis la terrasse du restaurant Zubu : un curry cela vous dit ? En tout cas, bon point pour le souci de l’hôtel à consommer local, souvent bio et de saison.
14 h — Changement de décor
Bye bye Livingstone, bonjour la vallée du Luangwa et l’un de ses trois parcs nationaux, celui de South Luangwa. Pas de vol direct, il faut obligatoirement repasser par Lusaka, la capitale afin d’atteindre Mfuwe, à 45 minutes de votre lodge.
18 h — Installation au Kafunta River Lodge
A deux pas du parc national South Luangwa, le Kafunta River Lodge apparaît au détour d’un bosquet. Une petite boutique marque l’entrée du domaine. Toit de chaume et poutres en bois, l’imposant lobby, salon, salle à manger a été construit selon les normes locales : telle fut l’intention d’Anke Cowan et Ron son époux, les propriétaires. Tombés sous le charme du site, on leur emboîte le pas : la vue sur la plaine immergée est époustouflante. Des serveurs aux guides en passant par les réceptionnistes et les gardes armés, l’ensemble des employés viennent des villages alentours. Le service est authentique autant que chaleureux. 8 cottages seulement, à la déco rustique-chic, et une villa de 3 chambres avec piscine privée pour les tribus ; l’endroit est idyllique, la petite piscine bienvenue et les vues somptueuses.
Plus d'infos sur kafuntasafaris.com
20 h — Dîner avec les hippos
La nuit est tombée. Un drink le temps de discuter avec notre nouveau guide, David. Le dîner est servi. Plutôt simple, guère inoubliable, mais avec des produits frais, locaux et bios. En contrebas de la terrasse, un mouvement. C’est un vieil hippopotame, un peu la mascotte du lieu qui dort dans son trou d’eau.
Jour 4 : dans le parc national de South Luangwa
6 h - Morning game drive
5h30 du matin, le soleil embrase par petites touches la nature. Le petit-déjeuner avalé, on monte à bord de la Jeep. David est là avec son apprenti. Pour guider les safaris à pied en Zambie, une formation supplémentaire est requise. Et la valeur doit parfois attendre quelques années pour des guides que leur réputation précède. Déjà, quelques girafes, un groupe d’impalas, et là, une petite troupe d’éléphants. A peine ¼ d’heure après le départ. La rivière se profile. On avait à peine remarqué les huttes dans leur enclos d’où quatre hommes surgissent : ils vont nous faire traverser le cours d’eau sur un bac plutôt ingénieux.
À droite des hippopotames. A gauche des hippopotames. Sur l’autre rive, un tout jeune garde nous attend, fusil à la main. On forme une file indienne, toujours. Le ranger à l’avant, l’apprenti en serre-file. David est un puits de connaissance, raconte l’arbre à saucisses dont raffolent les girafes avec le même enthousiasme qu’il explique les différences entre les zèbres de Crawshay, endémiques, avec celles des pays voisins. On s’approche de la rivière. Juste ce qu’il faut, il ne s’agirait pas de servir de pâture aux nombreux crocodiles qui s’agitent en contrebas. Les hippopotames sont bien réveillés, deux mâles se battent pour leurs femelles. La puissance des mâchoires interpelle.
12 h - Déjeuner champêtre
On revient le temps d’un agréable déjeuner à l’ombre de mopanes. Buffet de salades diverses et colorées, et fruits locaux, parfait avec la température, plutôt élevée.
14 h - Impact durable et cadeaux de qualité
Cet après-midi, direction Mfuwe, un village rue, une route défoncée, des hommes à bicyclettes, des femmes qui discutent en marchant, des enfants au sourire éclatant. De nombreux projets communautaires permettent d’aider les habitants de la région. Ainsi Mulberry Mongoose, fabrique des bijoux à partir des collets en fil de fer des braconniers de mangoustes, préservant l’espèce en parant les coquettes ; Project Luangwa vient, en aide aux plus démunis. En achetant une pochette de serviettes menstruelles lavables en plus de cette nappe en wax colorée, on aide directement une jeune femme. Des housses de coussins en coton, une trousse d’écolier ornée d’une girafe, de ravissants pots en bois et palme tressée : Tribal Textiles promet une démarche éthique, un impact durable et des salaires équitables tout en soutenant la conservation de la faune et de la flore locales. Exactement ce que souhaitait Norman Carr, qui incluait les populations locales dans ses projets.
16h30 - Afternoon game drive
Il faut compter 20 minutes de trajet pour rejoindre l’entrée du parc national de South Luangwa. Ce territoire n’est pas le plus grand mais certainement un des plus fréquentés du pays. Fondé par Norman Carr - qui y vécut presque jusqu’à sa mort – il compte plus de 60 espèces de mammifères et 400 espèces d'oiseaux qui naissent, vivent, s’ébattent et meurent sur un secteur particulièrement préservé, aux paysages très variés : savane, plaines inondées en saison des pluies, bosquets d’arbres, plateaux en surplomb des cours d’eau. La monotonie est totalement bannie ici. Peu de touristes en regard avec d’autres pays.
Des babouins courent au milieu des impalas, des zèbres traversent la piste, plus loin encore une famille de phacochères. On s’arrête sur la tombe de Norman Carr, discrètement installée entre quelques ébéniers, des arbres qu’il appréciait. Une simple tombe, une simple plaque, avec deux lions gravés. Il s’occupa en effet de deux fauves orphelins puis les réintroduisit dans leur environnement. Une halte apéritive, en regardant le soleil couchant. Au loin, de l’autre côté de la rivière, des éléphants. Tout simplement. Les phares du 4X4 trouent la nuit noire. L’apprenti qui balaye de sa torche les alentours pointe une hyène assoupie. Soudain, il s’adresse au guide. Qui s’arrête derechef. Là, à gauche une centaine de buffles en train de s’abreuver. Vision éthérée. On peut rentrer dîner.
20h30 - Dîner accompagné
Un apéritif pour échanger autour du boma, un dîner qui, ce soir, se fait plus local. Et un second hippopotame viendra nous rendre visite. Escorté d’un garde, chacun rejoint son bungalow pour la nuit et rêve de la prochaine étape de ce road trip en Zambie.
Jour 5 : Puku lodge
10 h - Transfert panoramique
On poursuit notre itinéraire en Zambie. Cette fois, direction un lodge au cœur du parc. On repasse par le village ; c’est jour de marché. Le transfert, de fait, se transforme en safari en Zambie improvisé. D’autant que notre chauffeur est également le guide qui s’occupera de nous. Il n’hésite ni à s’arrêter, ni à faire un détour pour voir de plus près ce couple de girafes se régalant des fruits de l’arbre à saucisses. Le panorama change, étirant une immense plaine. Au loin un bosquet touffu.
12h30 — Check in et farniente
Le transfert devait durer 1h30, il s’est un peu éternisé, c’est la faute aux animaux !
On s’installe au Puku Ridge, un magnifique lodge de 8 bungalows seulement, implanté dans un secteur riche en léopards. Votre butler vous conduit à votre nid, un rêve de chic et d’intimité : véritable suite, avec son lit king size face à la savane, son chaleureux coin salon et son bar, particulièrement généreux. Du bois, un camaïeu de beiges et de blancs, du parquet et tapis tressé : la déco manie l’élégance avec une belle modernité, pointe l’artisanat local en toute sobriété. Dans la salles de bains adjacente, une baignoire. Avec vue forcément. Sur la terrasse aménagée, un petit bassin, histoire de se rafraîchir. Une douce extérieure et cette volée de marches qui mène à la terrasse, découvrant un lit à baldaquin.
On passera l’après-midi à musarder, guettant les impalas et les zèbres, les singes et les éléphants, safari sur grand écran.
19h — Tous autour du boma
On a pris le pli de se réunir autour du feu. De délicieuses bouchées accompagnent le cocktail signature ou le verre de vin sud-africain. Chacun déroule sa journée, la même et pourtant chacun ses souvenirs les plus frappants. Le butler vient s’enquérir : ce soir dormirez-vous sur votre terrasse ?
20h — Dinner’s ready
C’est sur la terrasse en surplomb que l’on dîne. Les produits viennent des villages les plus proches, les herbes du potager. Les plats, pour certains escortés de légumes bien locaux, sont joliment présentés, colorées, les cuissons impeccables, le service souriant autant que charmant.
22 h — Nuit étoilée
22 h. Le lit est préparé, douillet, au premier rang d’un incroyable spectacle : aucune pollution atmosphérique, le ciel est criblé de centaines d’astres, traversé d’étoiles filantes. La nuit ne sera pas forcément des plus calmes, mais a-t-on souvent l’occasion d’être réveillé par le barrissement d’un éléphant, les chamailleries d’une bande de singes ? Encore une poignée de souvenirs à chérir.
Jour 6 et 7 : Safari et farniente
L’idéal est de rester au moins 2 nuits, sinon 3 dans ce lodge. Pour multiplier les possibilités de croiser buffles, et surtout lions et léopards, véhiculés comme à pied. Le temps s’y écoule délicieusement et le retour s’effectue en douceur avec un dernier safari matinal le temps de rejoindre l’aéroport.
Pour éviter trop de fatigue – il faut compter au moins 3 vols depuis le parc pour rejoindre la France – on prend une chambre en day-use pour se rafraîchir. A 15 minutes de l’aéroport international de Lusaka, le Ciêla Resort & Spa offre un domaine de 100 hectares et 249 clés, au design sobre et contemporain avec belles salle de bain. Selon votre heure d’arrivée, un plongeon dans la piscine, un massage au spa et au déjeuner, un buffet particulièrement généreux, avec beaucoup de plats locaux. Le chef est français, cela se ressent sur les desserts ! Vous n’aurez probablement pas le temps, mais sachez que cet établissement 5 étoiles est doté d’un golf 18 trous. Et s’il vous manque un cadeau à rapporter, pourquoi ne pas acheter quelques bières ? Il y a même une micro-brasserie !
Bon à savoir
- La meilleure saison pour les safaris en Zambie ? D’avril à novembre. Les chutes Victoria sont alors au plus bas, mais la possibilité d’admirer pléthore d’animaux démultipliée.
- Les lodges incluent tous au moins les transferts, la pension complète avec boissons alcoolisées et 2 safaris par jour.
- Pas besoin de visa si vous séjournez moins de 90 jours en Zambie
Plus d'infos touristique sur la Zambie sur le site de l'office de tourisme : zambiatourism.com