Voyage au Bhoutan : un doux itinéraire dans les cimes de 7 à 10 jours 

Mā mā (gauche), pā pā (droite), intime à ses deux bœufs le paysan que nous croisons dans les rizières de la vallée de Punakha, à sec en ce mois de décembre, qui prépare ses terres pour planter des piments. Plus loin, deux hommes réparent un motoculteur, signe que la modernité n’a pas abandonné le Bhoutan. Des hommes jouent aux khuru, et lancent ces lourdes fléchettes par équipe sur une cible minuscule dans une chorégraphie propre à chacun. Les rubans de tissu accrochés à leur ceinture, récompense de leur dextérité, virevoltent lorsqu’ils entament leur danse, si l’un des dards rentre droit dans le mille. Assistant au spectacle, un grand-père fume la pipe, son petit-fils dans les bras. Dans la vallée de Gangtey, les grues noires tournent trois fois autour du monastère avant de se poser sur la plaine... Comme un air d’Arcadie, visiter ce Bhoutan des champs où l’on se promène comme dans un décor du siècle passé, une terre rurale où les Hommes semblent mener une vie simple, insouciante, éloignée de la modernité. C’est ce sentiment de sérénité qui nous pénètre immédiatement à la sortie de l’avion, dans le seul aéroport international du pays à Paro, et qui ne nous quitte plus durant notre itinéraire de 7 à 10 jours au Bhoutan.

Cette impression d’être hors du temps, de quiétude, en apesanteur parmi les cimes de l’Himalaya, est renforcée par l’organisation complète des hôtels Aman où nous séjournons, la sollicitude du personnel, la cordialité de notre guide Sangay. Notre pèlerinage, « kora » en langue locale dzongkha, servira de titre à chacune de nos étapes : les cinq lodges signés Aman installés dans le pays du Bonheur National Brut. Sur un territoire de la même taille que la Suisse, peuplé de 780 000 habitants dont les trois-quarts pratiquent le bouddhisme tibétain, et qui ont eu accès à Internet et à la télévision en 1999, la collection Aman et l'agence française Exclusif Voyages font figure de précurseurs. 

C’est le quatrième roi du Bhoutan, le père de l’actuel roi Jigme Khesar Wangchuck si populaire, qui a décidé d’ouvrir le pays au tourisme, prudemment, dans les années 1990. Se reconnaissant dans la philosophie d’Aman, qui inaugurait alors son premier hôtel en Thaïlande, l’Amanpuri, sans avoir coupé un seul arbre, le roi décidait d’inviter le fondateur de la collection, Adrien Zecha, à voyager au Bhoutan par le premier vol international à atterrir à Paro. L’hôtelier est tombé amoureux de ce petit pays où tout était à faire, et Amankora est né avec la complicité de la famille royale, grâce à laquelle la collection d’hôtels bénéficie aujourd’hui d’emplacements privilégiés pour un itinéraire de 7 à 10 jours au Bhoutan. 

Voyager au Bhoutan – Étape 1 : Thimphu

La capitale du Bhoutan présente un autre visage, bien plus moderne que le portrait dépeint dans les guides. Pub, boutiques de vêtements et d’objets Mini Sou témoignent que le pays est bien entré dans la mondialisation. Mais à petit pas feutrés. La majorité des habitants portent encore l’habit traditionnel : le gho pour les hommes, la kira pour les femmes, faite d’un seul pan d’étoffe à enrouler avec dextérité autour de soi. De grandes photos de la famille royale ponctuent les édifices officiels, les commerces et les magasins de souvenirs, alors que la reine Jetsun Pema vient de donner naissance à son troisième enfant. Tashi delek. Les constructions neuves de cette ville de 115 000 habitants sont obligées de respecter les codes de l’architecture traditionnelle : charpentes peintes de couleurs vives, façades ornées de symboles de bonne augure (tigre, phallus, dragons ou phœnix) et fenêtres en bois ouvragée en encorbellement. 

Toutefois, en sortant de la ville, on retrouve cette tranquillité qui baigne le pays. L’école monastique Dechen Phodrang, construite au XII^e siècle, respire à la fois le sérieux et l’insouciance de ses jeunes novices qui jouent et s’apostrophent dans la cours. Dans la salle d’étude en revanche, lourdement décorée de tentures imprégnées de l’odeur de l’encens, les moines se plongent dans leurs récitations sacrées. Sous la supervision stricte de leurs aînés, leurs voix graves ou fluettes résonnent dans la pièce sombre au sol glacé, emplissant l'atmosphère de solennité. La religion est partout au Bhoutan, et domine même la capitale d’un immense Bouddha assis de 52 mètres de hauteur, doré et renfermant lui-même un temple. La route pour y monter est constellée de milliers de drapeaux de prière qui battent au vent, qui nous suivront tout au long de notre voyage de 7 à 10 jours au Bhoutan.

Lodge 1 : Amankora Thimphu

Comme l’un des dzongs qui ponctuent les paysages montagneux du pays, ces forteresses qui abritent à la fois les moines et l’administration de l’État, l’Amankora Thimphu élève ses grandes façades blanches dans une forêt clairsemée de pins à 2350 mètres d'altitude. On y pénètre comme dans un temple, salué par des moulins de prières et un moine qui pratique une cérémonie de bienvenue. Une grande cour accueille les happy few, rapidement dirigés vers une terrasse où crépite un feu de bois et quelques lanternes. Les bâtiments massifs aux accents modernistes, qui se détachent sur la forêt de pins et de cyprès, sont traversés de couloirs qui débouchent sur 16 suites immenses ouvertes et lumineuses, toutes agrémentées d'un coin salon chauffé par un petit poêle. Un petit bol d’eau posé sur celui-ci humidifie l’air sec de ces hauteurs. La salle de bain, sanctuaire de relaxation, est parée d'une grande baignoire éclairée par la lueur des bougies, d’un tapis moelleux, d’un fauteuil avec un plaid. Une pièce à part entière où l’on se prélasse au son du feu qui ronronne, et du petit torrent qui court en contrebas. 

Côté salon, une lampe en jute éclaire avec douceur les murs et le plancher en bois, le canapé bas, le petit plateau sur pieds, la bouillotte placée le soir entre les draps… tout concourt à une ambiance apaisante et à la déconnexion.

De retour dans les parties communes, deux cheminées séparent le restaurant du bar, offrant un espace de convivialité chaleureux. Entouré par un paysage au ciel piqué par la cime des pins, on se prend à rêver à la suite de notre voyage au Bhoutan.

Bon à savoir ? Les hôtes souhaitant approfondir leur connaissance du bouddhisme tibétain (mahayana) pourront rencontrer Son Excellence Mynak Trulku Rinpoche, douzième réincarnation du lama Mynakj Rinpoche et fondateur du Musée national de Paro et de la Bibliothèque nationale de Thimphu. Histoire de la religion autour d’un thé ou séance de méditation, un moment suspendu hors du temps. 

Circuit au Bhoutan - lodge 2 : Amankora Gangtey

À travers les brumes mystérieuses qui envahissent régulièrement le col de Dochula, à 3150 mètres d’altitude, le voyage vers l'Amankora Gangtey commence dans un écrin de nuages où la vue se perd dans l'étendue des cieux… Gangtey se trouve dans une vallée isolée, réserve naturelle où coule une rivière, surveillée par le monastère éponyme qui brille de mille feux la nuit, éclairé de guirlandes électriques multicolores comme les églises du sud de l’Italie. Au bout d’un chemin de terre, semblable à ceux qui desservent les fermes voisines, l’Amankora Gangtey présente son entrée discrète en pierre, mur écran qui camoufle un chemin tapissé d’aiguilles de pin parfumées. Au bout de quelques mètres, l’hôtel se dévoile, mais c’est le paysage qui se dresse au-delà qui joue le rôle principal. La vallée pénètre dans le lodge par de grandes baies vitrées, la vue est à couper le souffle sur les collines et les champs alentour, l’intérieur de bois clair sert d’écrin à l’extérieur. 

Avec seulement huit chambres, l'Amankora Gangtey est le plus petit des lodges Aman au Bhoutan. Et c’est dans cette taille que réside son charme, offrant à chaque visiteur un cocon à l’intimité et au calme incomparable. Les chambres, identiques à celles des autres lodges Aman, permettent de garder ses repères au cours du circuit en itinérance au Bhoutan. Nos bagages sont disposés avec soin avant même notre arrivée. Cette sensation de chez-soi s'enracine chaque nuit davantage, nous incitant à revenir à ce refuge après chaque journée d’aventure. Tous les soirs, une délicate attention personnalisée nous attend : un masque en bois, un vajra en métal, éclair symbole de l’arme contre l’ignorance, de petites cymbales tingshas, des galets peints de grues noires, ajoutent une touche de magie à nos méditations et soulignent l'importance du détail dans cette retraite d’exception.

Ce qui fait la différence ? À Gangtey, une expérience inoubliable attend les hôtes, surprise concoctée en amont du voyage par Exclusif Voyages en complicité avec Amankora : les bains de pierres chaudes. Dans un abri de pierre au milieu des champs, les pierres chauffées au feu de bois toute l’après-midi se mêlent à l'eau du bain, imprégnée d’armoise… Sous un ciel étoilé et le crépitement du feu, on se plonge dans cette eau chaude, conscient de la rareté de ce moment et de ce voyage au Bhoutan. 

Les randonnées dans la vallée de Gangtey

Le spectacle du lever du soleil embrase les ruisseaux qui coulent au fond de la vallée de Phobjikha face à l’hôtel, où les grues noires venue passer l’hiver batifolent bruyamment. On raconte qu’en arrivant depuis le Tibet, elle fond trois fois le tour du monastère de Gangtey, saluant les habitants et les moines. Avant de quitter l’hôtel, sac-à-dos à l’épaule, la journée débute par une cérémonie de fumigation empreinte de spiritualité, autour du petit stupa (autel), accompagnée des prières d'un trulku du monastère voisin. Guidés par la poésie de la fumée s'élevant à travers les pins, nous entamons une randonnée à travers champs, abandonnant temporairement la voiture pour nous immerger dans la forêt. La vie rurale de la vallée s’offre à nous : un vieux monsieur marche le dos chargé d’une botte de genets, un autre amasse du bois mort, des paysans binent leurs champs de choux à côté d’un gros moulin à prières hydraulique, entraîné par la force d’un ruisseau.

Le soir, un dîner à la lueur des bougies monté dans un abris de stockage de pomme de terre rend d’ailleurs hommage à cette vie paysanne. Après quelques heures de marche douce et un pique-nique bhoutanais tiré du sac par nos guides Sangay et Kengo, on entre dans le petit village de Gangtey, couronné de son monastère aux fresques ancestrales. Celle des Quatre Rois célestes à l’entrée est particulièrement effrayante, avec ces 4 personnages qui dansent dans des cercles de flammes, habillés de têtes de mort, de peaux écorchées, écrasant des êtres humains sous leurs pieds géants et avalant des serpents. Plus paisible, la cours est vide, si ce n’est ces deux jeunes moines au visages concentrés, dévoués à confectionner des torma, ces gâteaux rituels en beurre aux couleurs vives qui constituent de riches offrandes aux dieux.

Voyager au Bhoutan – étape 3 : Punakha 

Chaque province du pays du Dragon-Tonnerre abrite un trésor architectural : son dzong, une forteresse monastique imposante alliant administration et spiritualité. Les dzongs, souvent perchés au-dessus de rivières, sont équipés de tours de guet et de pont-levis pour assurer leur protection. Le dzong de Punakha, érigé en 1637 au confluent des rivières Mo Chhu et Pho Chhu, est l'un des plus anciens du pays et réputé pour son architecture remarquable et son pont suspendu. Les visiteurs peuvent assister aux prières des moines vêtus de tuniques écarlates et découvrir cet aller-retour constant au Bhoutan entre tradition et modernité, illustré par des offrandes pour le moins profanes : paquets de chips et de KitKat, sodas et briques de lait. Dans cette région tropicale, ce dzong sert de résidence d'hiver aux moines de Thimphu. Sa visite constitue une vraie leçon sur la religion mahayana matinée de croyances populaires qui a cours dans le pays. Organisé en 3 cours, il abrite un arbre de la Bodhi, un sanctuaire dédié à la Tsochen, reine des naga ainsi qu’un temple où reposent les dépouilles de Péma Lingpa et du Shabdrung Ngawang Namgyal. La salle d'assemblée, ornée de magnifiques fresques représentant la vie du Bouddha et d'énormes statues dorées datant du XVIII^e siècle, se trouve à l'extrémité sud.

À proximité, le village de Sopsokha, que l’on rejoint après une charmante balade dans les rizières, abrite le temple de la fertilité Chimi Lhakhang, où des peintures de phallus ornent les maisons pour éloigner le mal. C’est l’un des endroits les plus visités du Bhoutan ce qui ne lui enlève en rien son charme et un certain côté cocasse. On pourra ramener chez soi un phallus sculpté dans du bois et coloré, décoré d’ailes ou en porte-clés. 

À quelques encablures de l’hôtel, assez proche pour y aller à pied, se trouve le chörten (ou stuppa) Khamsum Yulley Namgyal Chorten, à la vue panoramique sur les montagnes et la vallée verdoyante. Dominant la rivière, on y grimpe au lever du soleil avant de retrouver dans ses jardins un petit-déjeuner complet monté par les équipes d’Aman. Boire son café avec vue sur le toit doré du temple restera l’un des grands moments de ce voyage au Bhoutan de 7 à 10 jours.

 Lodge 3 : Amankora Punakha

À quelques kilomètres au nord du célèbre dzong de Punakha, se trouve l'ancienne demeure de la reine-mère, une éminence parmi les trésors architecturaux du Bhoutan. Perchée au-dessus de la sinueuse rivière Mo Chhu et entourée de splendides rizières en terrasses, cette ancienne résidence royale offre un cadre serein et un panorama paisible. Pour atteindre le lodge, les visiteurs devront s’armer de courage et traverser un pont suspendu orné de drapeaux de prière, qui dispersent au vent les mantras qui y sont inscrits. Au milieu de jardins tropicaux où croissent les bananes et les goyaves, l'ancienne demeure rénovée de trois étages, avec ses remarquables fresques et sa charpente en bois peinte, abrite une salle à manger dépouillée et un petit autel pour des cérémonies de purification.

La terrasse sert de cadre idéal au petit-déjeuner avec vue sur les rizières, et mène aux anciennes cuisines, réaménagées en spa. On traverse un petit ruisseau pour accéder aux suites, installées dans un habit plus contemporain en pisé, posé parmi les arbres en fleur de cette vallée au climat tropical. À travers les fenêtres en bois sculpté, la vue porte sur les montagnes alentour et descend doucement vers la piscine à débordement, unique concession à la modernité, à fleur de rizière, où l’on commande un jus de goyave du jardin fraîchement pressé. 

Bon à savoir ? Autour du grand feu de bois qui projette ses ombres dansantes sur la façade de l’hôtel, les villageois et villageoises des alentours viendront se réunir et entonner des chants traditionnels, émouvante plongée dans la culture populaire et rurale de la vallée. 

Itinéraire au Bhoutan – Étape 4 : Paro et ses alentours

Suspendu comme par magie à 3 200 mètres d’altitude contre la paroi rocheuse des montagnes, le Tiger's Nest est l’image d’Épinal du Bhoutan. Y monter constitue l’apogée de tout voyage au Bhoutan. Lors de l’ascension, le temps est capricieux, passant du soleil au brouillard, puis à une légère chute de neige, nous sommes en décembre. Entre les arbres et les drapeaux de prière, le temple se dévoile progressivement. Selon la légende, Guru Rinpoché, considéré comme le fondateur du bouddhisme tibétain, aurait fondé ce temple en volant jusqu'ici sur le dos d'un tigre, ajoutant une aura de mystère à ce lieu emblématique seulement habité par trois moines, qui pourront bénir les visiteurs ou leurs proches contre quelques ngultrum, la monnaie bhoutanaise. De petits temples ponctuent la falaise autour du temple principale, encore plus isolés, et constituent des cellules d’ermitages ou des moins s’isolent lors de retraites qui peuvent parfois durer plusieurs années. 

Le Rinpung Dzong, datant du XVII^e siècle et construit sans clous, est un autre site remarquable à découvrir lorsque l’on voyage au Bhoutan. Ce dzong aux épaisses murailles est un trésor historique qui abrite une communauté monastique de 200 moines. Quant au temple Kyichu Lhakhang, le plus ancien du pays, il témoigne d'une dévotion séculaire dans la lutte contre le mal. Fondé au VII^e siècle par le roi tibétain Songtsen Gampo, il renferme les statues sacrées de Jowo Jamba et de Chenresig. A l’extérieur, un petit bâtiment abrite des centaines de lampes en beurre de yack, ou karme, qui brûlent pour chasser l’ignorance, et offrir en offrande de la lumière aux dieux. Y allumer 108 lampes est l’une des manières les plus communes d’augmenter son mérite chez les croyants.

Lodge 4 : Amankora Paro 

Retour en ville, ou du moins, à la lisière de Paro, où l'Amankora se dévoile dans l'ombre d'une forêt de pins et s’ouvre sur les ruines du dzong de Drukgyel et le majestueux sommet enneigé du Jomo'lhari, qui tutoie les 7 300 mètres. L'atmosphère sereine du lodge est accentuée par le doux murmure d'un torrent qui coule le long de la terrasse et que l’on traverse pour dîner en extérieur, réchauffé par de grands feux de bois et coiffés de toques. Les nuits peuvent être froides ici. On savoure un dîner de gastronomie bhoutanaise, tous les plats arrivent à table simultanément : navets au bœuf, salade de fromage de yack, ema datse au piment, curry de pomme de terre, ragoûts et momos tibétains, hommage à la région voisine avec qui les Bhoutanais partagent de nombreux traits culturels, remplissent la table. La visite du Bhoutan passe aussi par l’assiette. 

Avec 24 chambres, l'Amankora Paro est le plus important des lodges Aman du Bhoutan, même si l'intimité est une nouvelle fois privilégiée. On retrouve également à l’hôtel un magnifique spa avec sauna panoramique et des suites privées se prolongeant sur des terrasses où l’on prendra un bain aux pierres chaudes, en regardant les troncs sinueux des pins. La nature en majesté, toujours. 

Le tir à l’arc est le sport national au Bhoutan. On s’entraîne derrière l’hôtel sur une cible, et les employés de l'hôtel se joignent volontiers aux invités, ajoutant une atmosphère ludique et conviviale à la pratique. Le soir, on peut également fabriquer ses propres drapeaux de prières, à rapporter en souvenir ou à accrocher dans les montagnes lors d’une randonnée, avec le souhait, de revenir encore, au pays du Dragon Tonnerre.

Quelques infos pratiques pour voyager au Bhoutan

• Une taxe journalière de 100 $ est à régler lors de la préparation de son visa pour le Bhoutan. Elle approvisionne le budget de l’éducation et de la santé, gratuits pour tous. 
• Le pays est desservi par deux compagnies : Drukair et Bhutan Airlines. Depuis l’Europe, les 2 escales les plus rapides / pratiques sont New Delhi (visa indien requis) et Bangkok. 
• La monnaie bhoutanaise, le ngultrum, est indexée sur la roupie indienne, elle aussi acceptée au Bhoutan.
• Il est quasiment impossible de voyager sans agence de voyage au Bhoutan, une agence est recommandée. Exclusif Voyages, agence française et familiale de voyages d’exception, à largement facilité notre séjour sur place et la logistique de l’escale longue à New Delhi. 

Le tarif par personne Exclusif Voyages (base double) à partir de 18 260 € inclut : 

• les vols a/r Paris / Delhi en classe éco sur Air France, les vols Delhi / Paro a/r en classe éco sur Drukair. Le vol Bumthang / Paro en classe éco sur Drukair, 
• Les transferts a/r et fast track à Delhi, 1 nuit de transit en « Superior Room » et petits déjeuners à l’hôtel The Claridges à Delhi, 
• Tous les transferts privés au Bhoutan, un chauffeur et un guide anglophone dédiés pendant la durée du voyage au Bhoutan, 
• 2 nuits en «  Luxury suite » dans les lodges : Amankora Thimphu, Punakha, Gangtey, Bumthang, Paro et pension complète incluant les boissons locales,
• les frais de visa Bhoutan et les taxes gouvernementales obligatoires.
•  Tel : 01 42 96 00 76 et info@exclusifvoyages.com