J.K. Place Roma, un refuge hédoniste au cœur de Rome

HÔTEL TESTÉ ET APPROUVÉ PAR LA RÉDACTION | SÉJOUR EFFECTUÉ EN MARS 2022

Le pitch | J.K. Place Roma, un refuge urbain chicissime

Depuis l’ouverture de leur premier hôtel à Florence en 2003 (qui a depuis quitté la collection), l'entrepreneur italien Ori Kafri, dont le père, Jonathan Kafri, est le fameux J.K, et Eduardo Safdie aiment prendre leur temps. À rebours des groupes hôteliers qui ouvrent des adresses à la volée, la collection J.K. Place prend soin de réunir l’exceptionnel avant de se lancer. À Capri, Rome ou Paris, dernière ouverture, chaque maison est soigneusement pensée pour associer un emplacement de rêve, une décoration recherchée signée du fidèle designer florentin Michele Bönan, un petit nombre de chambres et un sentiment d’exclusivité. 

Si tous les chemins mènent à Rome, seuls les initiés trouveront le J.K. Place Roma. Dans la Ville éternelle, l’hôtel doté de seulement 27 clés est une oasis au service ultra personnalisé.

J.K. Place Roma | Comment est l’hôtel ?

Un petit marché bruisse doucement face à l’hôtel, dans lequel on pénètre comme dans un éden confidentiel au milieu de la ville. La petite réception passée, on arrive dans un vaste hall sous une verrière, où l’on retrouve le style éclectique et opulent du Florentin Michele Bönan. Meubles de design des années 1960 et 1970, statues antiques, détails géométriques Art déco et grands tableaux sont liés dans un esprit dolce vita, qui invite à s’enfoncer dans un sofa. On y prend un café, on lit un magazine devant la cheminée et on profite de la lumière qui tombe du plafond et de l’atmosphère feutrée. On comprend pourquoi nombre de personnalités ont fait de cet écrin — il faut sonner pour entrer — leur repaire romain. 

Une double porte aux huisseries en marbre mène vers un bar, puis sur la salle du restaurant, à l’étonnante palette — murs vert colvert, soie jaune, banquettes bleues et sièges rouges — qui tombe pourtant dans le mille. Le lustre en particulier est une vraie sculpture. On prend le petit-déjeuner, on y déjeune ou on y dîne, dégustant une cuisine italienne de bonne facture. Avant cela, l’apéritif se prend dans la bibliothèque, chic comme une boite à cigare, avec sa collection de livres de mode, art, design. La carte des cocktails est fournie et inventive, et les classiques — Negroni, Americano, Franciacorta — toujours de mise. 

Seul bémol ? L’absence d’un espace extérieur que l’on apprécierait pour boire un apéritif en terrasse et profiter du soleil de Rome. Un projet de rooftop est, nous dit-on, dans les tuyaux.

Et les chambres ?

Monter dans sa chambre est déjà une expérience en soi. L’ascenseur, avec ses miroirs et sa banquette Dior, s’ouvre sur 27 chambres et suites réparties sur trois étages. Toutes ont une configuration et une décoration différente : murs blancs, gris ou vert, photographies de palais italiens de Massimo Listri, sculptures et bibelots. Toutes jouissent d’une vaste (parfois immense) salle de bain en marbre avec du parquet, d’un dressing plaqué de palissandre pour un effet des plus chics et d’un lit à baldaquin ultra confortable. Tout le mini-bar est gratuit et chaque soir, une petite attention est déposée en chambre, symbole d’une personnalisation poussée à l’extrême par les équipes.

Au 3^e étage, les chambres sont pourvues de terrasses où prendre son petit-déjeuner face au marché. 

Ce qui fait la différence ? 

Les expériences proposées par l’hôtel, en particulier celles liées à l’art, au design et à la mode, jusqu’aux plus exclusives pour ceux qui connaissent déjà tous les recoins de la ville. Visites privées, guides spécialisés, privatisations, personal shopper, tables dans les restaurants les plus courus, la directrice et son équipe se plient en quatre pour satisfaire les besoins des clients les plus exigeants.

La chambre à booker ? 

L’une des chambres d’angle à chaque étage, les 7, 19 ou 28, pour une vue ouverte sur le petit marché Piazza Monte d’Oro.

C’est où ?

Entre le Tibre et la très chic Via del Corso, dans une partie du Palais Borghèse, toujours habité par des descendants de cette puissante famille romaine et occupé en partie par l’Ambassade d’Espagne. La piazza Navona, le Panthéon ou les escaliers de la piazza di Spagna sont à dix minutes à pied. L’hôtel se trouve également à portée de pédale (10 min) du parc Villa Borghese, que l’on explore à vélo électrique Fiat (prêté par l’hôtel) avant de déballer son panier pique-nique préparé par le chef.

Ce qu’il faut retenir ?

Avant-poste du chic, on n’hésite pas à faire du J.K. Place Roma son luxueux pied-à-terre à Rome. Élégance et exclusivité dictent les choix de la maison, et la personnalisation du service, jamais pesante, couronne un séjour forcément réussi.

5 choses que l’on a aimées au J.K. Place Roma

• Le magnifique lobby, croisement entre une galerie d’art et de design et une serre ;
• La situation géographique exceptionnelle au cœur de la ville,
• Les salles de bain, toutes plus vastes et plus chics les unes que les autres ;
• Le service et l’impression immédiate de se sentir unique aux yeux de l’équipe ;
• Les aperitivi dans la bibliothèque et la longue carte de cocktails inventifs.

C’est combien ? 

À partir de 600€ la nuit.

PARTENAIRE
Partir au J.K. Place Roma avec Safrans du Monde

Depuis plus de 15 ans, Safrans du Monde propose des voyages sur-mesure hors du commun. Allant au-delà des désirs de chaque client, l’agence répond aux demandes de chacun avec des expériences uniques. Partir avec Safran du Monde permet de découvrir Rome sous divers angles (patrimoine, mode, luxe, design et art) tout en résidant dans le confort du J.K. Place Roma.

Long week-end au J.K. Place Roma, l’élégance à la Romaine, à partir de 3,740€ par personne incluant :

• Les vols directs Paris / Rome en classe Économique sur la compagnie Air France ;
• 3 nuits au J.K. Place Roma en chambre Deluxe Room et en formule petit-déjeuner ;
• Les transferts privés depuis et vers l'aéroport ;
• Un dîner autour de la mer au restaurant Pierluigi et un dîner au restaurant J.K.Café de l’hôtel ;
• Un tour de la ville en vélo électrique accompagné d'un guide francophone terminé par un pique-nique Villa Borghese
• Une visite « surprise » dans un lieu magique...

Plus d’informations le site de Safrans du Monde