Paris : les 10 restaurants incontournables de la rentrée

Table testée et approuvée par YONDER – Mention spéciale de la rédaction

Qui ? Le chef triplement étoilé Eric Frechon (Epicure au Bristol, Lazare, The Lanesborough à Londres…) côté cuisine, la star britannique du design Tom Dixon côté salle.

Pourquoi on réserve ? Rouvert depuis la fin mai, la brasserie du Publicis Drugstore – simplement renommée Le Drugstore – a fait peau neuve sous la houlette de deux stars de la cuisine et du design.

Côté assiette, Eric Frechon a imaginé une carte pléthorique mettant à l’honneur finger food, comfort food internationale, jouant avec malice la dichotomie cru VS cuit, imaginant des plats signatures franchement séduisants. Quelques touches du luxe gastronomique international (Wagyu, caviar), rappellent que le Drugstore incarne mieux que personne le cosmopolitisme de la capitale.
Quant au décor néo-vintage chic (tables en marbre, banquettes en cuir, panneaux d’acajou, laiton) signé Tom Dixon, il permet au lieu de conserver son âme. Une réussite sur toute la ligne pour cette brasserie aussi atypique qu’emblématique des Champs-Elysées.

Le(s) plat(s) à goûter ? Tous les plats signatures (casarecce aux coquillages, cabillaud cuit au plancton, côtes d’agneau grillées à la harissa, araignée de veau…), plutôt que les classiques revisités.

Combien ? Finger food de 6 à 16€ ; entrées de 12 à 29€ ; poissons, viandes et plats signatures de 19 à 69€ ; desserts de 10 à 18€.

Le conseil en plus ? 195€ les 300 grammes de Wagyu (origine Japon, Kagoshima, grade A5 pour les connaisseurs) à partager. C’est cher mais vous trouverez difficilement mieux à Paris.

Bon à savoir ? Le Drugstore propose une carte « réduite » (plus de 30 références tut de même) de finger food, de sandwiches, de classiques de brasserie (burgers, salade Caesar, tartare…) et de desserts en continu de midi à 1h du matin.

Retrouvez ici notre article complet sur Le Drugstore Publicis.